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Un étudiant en médecine victime d’une cabale diligentée par l’extrême gauche
Matisse est en quatrième année de médecine. Ses études se déroulent parfaitement et il aime soigner son prochain. Matisse est également patriote et ne le cache pas. Il a même matérialisé son engagement en fondant un média, Vox Europa Herald, dans lequel il interroge les défenseurs de la civilisation européenne, à l’image de Julien Rochedy ou encore d’Alice Cordier.
Toutefois, tout a basculé il y a quelques jours lorsqu’il a été pris pour cible par de nombreuses figures d’extrême gauche sur le réseau social X. La meute qui voulait s’en prendre à lui fut tellement agressive qu’après une grande vague de harcèlement et de calomnies, plusieurs articles sur son sujet ont été publiés dans les médias locaux, évidemment sans jamais que Matisse ne soit contacté afin d’expliquer sa version des faits ou qu’il ne lui soit permis d’apporter des précisions.
Ces attaques de l’extrême gauche, qui ont pour unique fondement une intolérance politique revendiquée, ont des conséquences sur sa vie sociale, professionnelle mais également sur son intégrité physique.
DES ACCUSATIONS QUI JUSTIFIENT UN FÉROCE HARCÈLEMENT
En réagissant à un tweet qui racontait qu’un médecin « arabe » et « engagé », le dénommé Doc Amine (cinquante-trois mille abonnés sur X), avait refusé de traiter un de ses patients qui s’était plaint d’une salle d’attente remplie de personnes d’origine immigrée, Matisse avait pris la défense de l’homme refoulé par le médecin, affirmant que « oui, il y a trop de voilées, trop d’étrangers ». Il ajoutait qu’à la différence de son confrère que s’il assume ses idées politiques patriotes, en revanche, lui, prend en charge tous ses patients, quelle que soit leur origine ou leur religion. Et il le fait avec le sourire car il est intimement convaincu que sa vocation est de soigner.
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Or, en publiant ce tweet, Matisse ignorait qu’une vague de harcèlement incontrôlable allait se déclencher.
Le tweet est dénoncé une première fois, puis une deuxième. Très vite, son tweet est tronqué et repris sans la dernière partie par des comptes très influents et liés à l’extrême gauche. Son compte est épié, certains cherchent à le « doxxer », c’est-à-dire à trouver le plus d’informations sur sa vie privée. Dès lors, son nom, son école et même son adresse circulent et des milliers de personnes accèdent à ces informations. Les plus malveillants appellent à lui rendre « visite ». Diffamé, il est menacé de mort à de nombreuses reprises et pour tenter d’étouffer cette spirale infernale, Matisse décide de faire basculer son compte en « privé ».
Matisse est même accusé de nazisme car il a publié une photographie avec un maillot de l’équipe de football allemande avec un drapeau de la République fédérale en arrière-plan.
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UN MONTAGE DE L’EXTRÊME GAUCHE
En plus du tweet tronqué, les harceleurs d’extrême gauche tentent d’exploiter et d’extrapoler les moindres miettes qu’ils trouvent sur le compte de Matisse. Ainsi, certains mettent la main sur une photo où Matisse reproduit le geste « OK ». Universellement, ce geste qui vise à joindre le pouce et l’index signifie « OK » et indique que dans la situation donnée, tout va bien. C’est un geste notamment couramment utilisé par les plongeurs. Le New York Times précise d’ailleurs que c’est « un geste que les gens du monde entier font depuis des siècles, surtout dans des contextes positifs ». Ce symbole a connu une mutation aux alentours de 2017 aux États-Unis. Des militants trumpistes, adeptes du troll sur le site 4chan notamment, ont entrepris d’accaparer ce symbole pour faire croire à la gauche qu’il était devenu un symbole suprémaciste blanc. Or, cette blague fut une parfaite réussite, au point où désormais, dès qu’un militant de gauche voit une personne de droite réaliser ce geste, elle l’assimile directement à une gestuelle ésotérique qui ne peut être qu’une revendication implicite d’un suprémacisme blanc dissimulé.
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Matisse explique que la photo de lui en train de réaliser ce geste alors qu’il s’apprête à commencer le travail, loin d’être une revendication politique, n'est qu’une photographie anodine qui démontre qu’il était heureux de commencer son service. S’il était animé par des visées malveillantes, ajoute-t-il, il n’aurait évidemment pas publié le cliché publiquement, au risque, bien évidemment, de mettre en danger sa carrière.
À ces manipulations s’ajoutent d’autres mensonges : Matisse est également accusé par ses détracteurs de maltraiter ses patients, de propager ses idées politiques (racistes voire nazies selon les inquisiteurs) auprès d’eux voire de les traiter différemment tout en les essentialisant, c’est-à-dire tout le contraire de ce qu’il avait pu tweeter.
En accumulant toutes ces informations partiellement erronées, La Provence a publié un article intitulé « Propos racistes, geste de suprémacistes blancs… Aix-Marseille Université diligente une enquête sur un étudiant ». Le tout, sans contacter Matisse qui, choqué par la situation mais combattif, a décidé d’écrire au recteur pour l’informer qu’il est victime d’une cabale. Depuis, d’autres médias ont parlé de l’affaire, comme France 3 ou encore BFMTV, qui se contente de reprendre les propos des accusateurs et leur donne même la parole, tout en affirmant que les tweets de Matisse sont « racistes » !
Finalement, en évacuant les manipulations de l’extrême gauche pour diaboliser Matisse, il ne reste que ses idées politiques, qui ne sont pas d’extrême gauche certes. Il critique vigoureusement l’immigration et défend l’identité de l’Europe. Néanmoins, il n’a jamais été impliqué dans des faits de violence politique, il n’est affilié à aucun parti et jusqu’ici, il était un brillant étudiant qui n’avait jamais posé le moindre problème. Ainsi, il est visé uniquement parce qu’il a osé afficher ses idées politiques publiquement. Le fait qu’il soit un médecin en devenir n’a pas dû l’aider et a très certainement motivé ses harceleurs à tout faire pour détruire sa vie sociale et son avenir.
Ainsi, parce qu’il a osé évoquer ses idées politiques à visage découvert, Matisse est victime de harcèlement et de menaces de mort. Ces menaces ne disparaissent toutefois pas lorsqu’il éteint son ordinateur. En effet, il y a quelques jours, alors qu’il prenait le bus pour rentrer chez lui, Matisse a été pris à partie par un homme muni d’une seule béquille qui ne cessait de le fixer avec un œil hagard. Par précaution, l’étudiant en médecine a appelé la police. Par précaution également, il n’est pas descendu à son arrêt car son potentiel agresseur est descendu au même endroit. L’individu a alors immédiatement retrouvé des compagnons qui ont tous braqué leur regard sur Matisse, resté dans le bus.
Enfin, au début du mois de mai, des dizaines d’affiches ont été collées aux alentours de l’université de Matisse. À côté du texte « Facho hors de nos facs », une affiche reprend presque mot pour mot le tweet diffamant de Iliès Djaouti : « Fanatique de néonazis allemands qui appelle à déporter les noirs et les arabes ».
Voici quelques exemples des menaces reçues par Matisse :

CES MILITANTS D’EXTRÊME GAUCHE QUI VEULENT LA MORT SOCIALE DE LEURS ENNEMIS POLITIQUES
À l’extrême gauche, certaines figurent des réseaux sociaux ont comme activité principale de traquer ceux qui ont le malheur de ne pas partager leurs idées politiques et de les jeter en pâture à leurs abonnés tout en les qualifiant de « racistes », « fascistes » ou même « néonazis ». Pour Matisse, l’utilisation du tweet tronqué illustre parfaitement cette dérive qui, loin de se soucier de la vérité, ne vise qu’à nuire un maximum à la personne incriminée.
Ilies Djaouti
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Harceleur en chef, Ilies Djaouti dispose de 19 000 abonnés sur X. Cet étudiant à Paris 1 Panthéon-Sorbonne s’est réjoui du collage qui diffame Matisse en plus de le menacer physiquement en lui mettant une véritable cible dans le dos. Il est à l’origine des mensonges qui visent à faire de Matisse un « nazi ». Il a même été reçu sur BFMTV pour diffamer Matisse sans aucune contradiction.
Ilan Gabet
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Ilan Gabet, 105 000 abonnés sur X, est un militant affilié à la France insoumise et se revendique ouvertement antifasciste. Ce Parisien n’a pas hésité à qualifier Matisse de « néonazi » tout en exigeant son exclusion immédiate.
Alertes Infos - Moussa A.
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Alertes Infos, dirigé par Moussa A., ne publie que des informations qui visent à critiquer tout ce qui est considéré comme « extrême droite ». Il n’a jamais traité la moindre agression de l’extrême gauche et n’a jamais repris une des informations publiées par L’Observatoire. Pourtant, il a tweeté à deux reprises au sujet de Matisse, parlant de « controverse », de « racisme » et de « suprémacisme » en indiquant que l’infirmation provenait de l’harceleur en chef, Ilies Djaouti. Il a ensuite, pour remuer le couteau dans la plaie, partager le collage à l’encontre de Matisse. Deux informations vitales pour comprendre les enjeux de la France et du monde, n’est-ce pas ?
Tajmaât
Tajmaât, un site communautaire pour les musulmans et plus spécifiquement pour les Maghrébins, a également apporté sa pierre à l’édifice par un tweet qui dénonçait les « provocations récurrentes » de Matisse « visant notamment les personnes d’origine Maghrébine. » Pour salir quelqu’un, ils se contentent donc d’inventer des méfaits.
Cory Le Guen
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Cory Le Guen, 45 000 abonnés sur X, est connu pour ses multiples identités et ses affabulations. Il s’est fait passer pour diverses personnalités, notamment le neveu et directeur de cabinet de Brigitte Macron (2018), ce qui lui a valu une condamnation à un neuf mois de prison avec sursis. Plus encore, il s’est fait passer pour un fils de ministre, pour l’assistant du roi de Thaïlande ou encore pour un magistrat.
Cory Le Guen cumule 19 condamnations à son casier judiciaire, principalement pour escroquerie, usurpation d’identité, vol et abus de confiance. Il a été condamné le 9 mars 2023 à huit mois de prison avec sursis pour escroqueries en récidive (faux CV, fausses factures, etc.). Cette condamnation a également entraîné la perte de sa carte de presse pour 2023.
En 2023, il a orchestré un canular médiatisé contre le militant identitaire Damien Rieu, en feignant filmer une prière musulmane dans un tribunal.
Il a falsifié des CV, des lettres de recommandation et des factures pour obtenir des emplois ou des avantages, notamment dans le journalisme et auprès du parti EELV, où il a tenté de gravir les échelons. En 2024, par exemple, il s’est autoproclamé candidat pour Les Écologistes à Saint-Barthélemy et Saint-Martin, mais le parti a désavoué sa candidature, confirmant qu’il n’avait pas été officiellement investi.
Une expertise psychologique de 2018 l’a qualifié de « menteur pathologique » avec une « tendance compulsive à l’affabulation ». Tous ces mensonges et ces vols ont conduit cet escroc à faire un peu moins de deux ans de prison.
Le parcours de Cory Le Guen illustre un cas extrême de mythomanie, où ses mensonges ont oscillé entre des tentatives d’escroquerie pour des gains matériels et des mises en scène médiatiques pour gagner en visibilité. L'Observatoire du journalisme (Ojim) a réalisé un article très fourni à son propos.
Or, Cory Le Guen a tweeté contre Matisse, le traitant de « raciste » et « nazi ».
Des dizaines d’autres comptes, plus ou moins influents, ont également contribué à forger une histoire complètement déconnectée de la réalité, tout en renforçant le harcèlement à l’encontre de Matisse, qui lui est bien réel.
La faculté de Matisse a décidé de le convoquer pour une commission disciplinaire qui aura lieu dans une semaine. Cette cabale de l'extrême gauche, dont les fondations reposent sur des mensonges, font vivre à Matisse des moments difficiles. Une cagnotte a été ouverte par l'ASLA afin de le soutenir dans ses démarches administratives et judiciaires. Ilies Djaouti, le harceleur en chef, a annoncé que son « exclusion est en cours ». Voilà le dernier mensonge en date.