
Le Lion-d’Angers (49) : des antifas s’en prennent de nouveau à un bar associatif au motif que son propriétaire serait d’extrême droite
Le 15 août 2025, le café des sports du Lion-d’Angers (Maine-et-Loire) a de nouveau été la cible d’un acte de vandalisme perpétré par l'extrême gauche. De la peinture rouge a été maculée sur toute la façade et le mot « raciste » a été tagué. Ces dégradations visent à dénoncer la reprise récente de l’établissement par Louis G., accusé par les antifas d’avoir été proche de milieux d’extrême droite à Angers.
Cet incident s'inscrit dans une campagne de harcèlement menée par l’extrême gauche, entre dégradations et diffamations diffusées par leur association, le collectif « Bien vivre au Lion-d’Angers ». En décembre 2024, la façade avait effectivement été attaquée de la même façon.
Toutefois, ces dégradations n’ont pas uniquement atteint le Café des sports, mais également les habitations collées au café. Excédée, une riveraine a décidé de porter-plainte car sa façade a également reçu de la peinture.
La municipalité du Lion-d’Angers, par la voix du maire Étienne Glémot, a également déposé plainte à la suite de la dégradation des antifas, car de la peinture a été déversée sur les pavés qui constituent le trottoir, laquelle a nécessité l’intervention d’une équipe municipale pour être enlevée.
Lorsque l’extrême gauche ne soutient pas une initiative, elle ne l’ignore pas ; elle tente de la détruire.