
Incendie criminel de quatre véhicules du GSRI à Montpellier : l’extrême gauche derrière l’attaque ?
Dans la nuit du vendredi 19 au samedi 20 décembre, un incendie d’origine criminelle a détruit quatre véhicules appartenant au Groupement de Sûreté Résidentielle Inter-bailleurs (GSRI), stationnés sur le parking de leurs locaux à Montpellier. L’incendie a également endommagé la couverture photovoltaïque du parking et le bâtiment adjacent.
Les véhicules ont été entièrement détruits par les flammes, et l’origine volontaire de l’incendie a été confirmée. Le GSRI, qui emploie 36 agents, a pour mission de sécuriser les quartiers dans lesquels se trouvent des logements sociaux à Montpellier - des quartiers fortement concernés par l’insécurité et les trafics.
L’enquête déterminera peut-être qui sont les individus à l’origine de cet incendie criminel alors que deux pistes semblent crédibles : celle de banlieusards et/ou narcotrafiquants qui souhaitent nuire à des agents de sécurité qui les empêchent de commettre leurs méfaits en toute tranquillité, ou bien des militants d’extrême gauche qui, en sauveurs des opprimés, viennent châtier ceux qui les surveillent. La méthode est en tout cas très prisée par l’extrême gauche, surtout vers Montpellier. Par ailleurs, l’attaque a été relayée sur plusieurs sites d’extrême gauche. Souvent, lorsqu’un sabotage peut coûter cher à son auteur, les anarchistes se contentent de relayer sans revendiquer.


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