Le mercredi 12 novembre à Lille, en marge de la Soirée des droites, des antifas ont attaqué plusieurs militants patriotes. Après avoir cherché et trouvé le lieu, au moins trois antifas ont attaqué, tout en filmant, un sympathisant isolé qui se rendait à la soirée. En fin de soirée, deux militants qui repartaient ont été repérés par de nombreux antifas qui n'ont pas hésité à les lyncher férocement, au point de les envoyer à l’hôpital. Lorsque les patriotes sont sortis afin de faire fuir les antifas, ceux-ci ont immédiatement pris la fuite. Thomas*, qui a été hospitalisé au point de devoir subir deux scanners du crâne, a accepté de livrer son témoignage à L’Observatoire.

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Le militant explique qu’il a quitté la soirée vers 1h du matin avec un autre camarade. Alors qu’ils marchaient sur le boulevard Vauban, « une dizaine d’individus est sortie du jardin, puis trois d’entre eux se sont dirigés vers nous, ils nous ont poussé, mon ami et moi, en disant "Vous êtes de quoi ?"» Ni Thomas ni son ami n’ont le temps de répondre à la question rhétorique. Les antifas n’attendent pas la réponse et se mettent à taper, à cinq contre un.

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« Ils avaient des gants coqués. J'ai pris un coup au nez et suis tombé. Mon ami a pu monter sa garde. J'ai pris un coup de pied en plein nez en me relevant et je suis tombé dans les pommes. »

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Le camarade de Thomas, lui, n’est pas tombé. Il s’en sort donc avec des hématomes et l’arcade ouverte. Paradoxalement, il a été chanceux. Thomas, qui a chuté et est tombé dans les pommes, a été lynché.

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« Ils se sont bien défoulés sur moi à coups de pieds au visage. J'ai le crâne fêlé, les lèvres ouvertes, le nez dévié et des hématomes partout sur la tête avec le sommet des dents abîmé. »

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Comble de l’ignominie, après avoir mis au sol Thomas, après l’avoir endormi avec un coup de pied en pleine tête, après l’avoir lynché, les antifas, en supériorité numérique écrasante, ont entrepris de dépouiller leur victime désormais inerte. Ils lui ont donc ôté son blouson, dans lequel se trouvait son téléphone portable. Celui-ci a pu être localisé vers 4h du matin, alors que Thomas était déjà aux urgences. La Brigade anticriminalité s’est rapidement déplacée sur le lieu géolocalisé. Or, à l’arrivée des policiers, les antifas ont pris peur et ont abandonné le téléphone volé dans une poubelle, avant de prendre la fuite.

Thomas a déposé plainte. Pour l’heure, aucune interpellation n’a eu lieu. En dehors de L’Observatoire, aucun média n’a daigné parler de cette lâche agression d’extrême gauche, qui aurait pu provoquer un drame. La Soirée des droites avait déjà été attaquée par les antifas lillois en mai 2024, à coups de mortiers d’artifice cette fois.

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*Le prénom a été modifié

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