
Ils voulaient saboter la cérémonie du 11 novembre : une trentaine de militants d’extrême gauche arrêtés à Lyon
Le 11 novembre, à Lyon, 34 militants d’extrême gauche ont été interpellés aux abords du Parc de la Tête d’Or, dans le 6e arrondissement, alors qu’ils projetaient de perturber la cérémonie commémorative de l’Armistice de 1918.
Le sabotage de l’hommage aux soldats morts pour la France a toutefois échoué. En effet, l’action des militants d’extrême gauche semble avoir fuité, ce qui a permis aux autorités de mettre en place un dispositif de sécurité renforcé. De plus, Fabienne Buccio, préfet du Rhône et d'Auvergne-Rhône-Alpes, a pu promulguer un arrêté qui interdisait toute manifestation autre que la commémoration.
C’est ainsi que la trentaine d’antifas, avant même de pouvoir entreprendre le moindre sabotage, a été repérée et interpellée par les forces de l’ordre. Les « antimilitaristes » ont ensuite été conduits au commissariat central de Lyon, où ils ont été verbalisés pour non-respect de l’arrêté préfectoral. La sanction s’arrête toutefois à cette simple amende.
Des initiatives similaires et des rassemblements antimilitaristes ont eu lieu dans d’autres villes de France, à l’image de La Roche-sur-Yon, Nancy ou encore Montpellier.



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