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L’extrême gauche parvient à faire annuler la Nuit du Bien Commun à Aix-en-Provence
Lundi 6 octobre, la Nuit du Bien Commun, un événement caritatif prévu au 6Mic à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), a été annulé sous sa forme physique en raison d’une mobilisation de l’extrême gauche.
Durant plusieurs heures, des techniciens intermittents du spectacle, affiliés à la CNT, un syndicat d’extrême gauche, ont occupé la scène qui devait accueillir la Nuit du Bien Commun. Ils ont ensuite été épaulés par plusieurs dizaines de militants d’extrême gauche qui ont manifesté à l’entrée de la salle. Ils avaient répondu à l’appel d’une quarantaine de partis et d’associations de gauche.
Du fait de la grève des techniciens du 6Mic, les organisateurs de la Nuit du Bien Commun ont été dans l’obligation d’annuler la soirée une heure avant son début, notamment pour assurer la sécurité physique des participants. Les organisateurs ont toutefois pu assurer l'événement en ligne.
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Une nouvelle fois, la Nuit du Bien Commun, ou plutôt Pierre-Edouard Stérin, est la cible de la gauche, qui soupçonne la soirée de favoriser des intérêts conservateurs déguisés en philanthropie. Le harcèlement systématique des Nuits du Bien Commun par l’extrême gauche dure depuis plus d’un an désormais. L’Observatoire avait enquêté sur la manifestation organisée à Rennes l’année dernière et a documenté ses lecteurs sur des mobilisations qui montent en intensité et en violence. Pour preuve, la semaine dernière, des violences ont été commises à Angers, avant et pendant la soirée.