Alors que la Nuit du Bien Commun, un événement philanthropique notamment soutenu par Pierre-Édouard Stérin, doit se tenir à Angers (Maine-et-Loire) le 1er octobre, des militants d’extrême gauche ont commis des dégradations visant à mettre la pression sur les participants. Selon un communiqué revendicatif relayé sur Indymedia, un groupe d’antifas a ciblé les participants à la soirée, arguant que « Nous ne supportons pas que la bourgeoisie angevine, élevée à l’eau bénite, se permette de distribuer  en toute impunité son obole à leurs amis de SOS Calvaires et compagnie. »

En conséquence, la façade de l’espace de coworking du groupe BMG à Trélazé, lequel doit participer à la Nuit du Bien commun (dont l’objectif n’est que philanthropique au travers d’une levée de fonds pour des associations, faut-il le rappeler), a subi les coups de marteau et les tags des militants d’extrême gauche. Le château d’cpiré a également été visé.

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Les antifas, déterminés à faire en sorte que l’événement soit annulé, préviennent : « Ceci est un avertissement, il est encore temps pour les mécènes, entrepreneurs, gogos-philantropes de se retirer sur la pointe des pieds.Toute association bénéficiaire et toute entreprise ou personne qui le soutiendra sera dans le collimateur  de notre action de résistance face à cette menace grandissante de l’extrême droite. N’associez pas votre entreprise, votre association, votre nom à ce fasciste déguisé en prélat où il vous en coûtera très cher. »

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