Le dimanche 18 mai, c’est une agression sans commune mesure qui s’est déroulée à Strasbourg. Alors que Brice, militant d’Action française, venait d’accidenter sa voiture, il s’est garé pour contacter la police. Quelques minutes plus tard, il ne s’attendait pas à se retrouver face à une dizaine d’antifas cagoulés qui l’avaient repéré. Il s’est alors fait lyncher et frapper au sol pendant de longues secondes, avant de se faire dépouiller et voler son téléphone. Les antifas, satisfaits, ont alors pris la fuite.

Plusieurs personnes ont assisté à la scène mais l’enquête, une semaine plus tard, n’a toujours pas débuté. Une nouvelle fois, les antifas devraient ne pas subir les conséquences judiciaires de cette agression violente.

Ironiquement, Brice sera quant à lui jugé prochainement pour « incitation à la haine raciale » et « outrage à personne dépositaire de l’autorité publique » pour avoir, en février dernier, osé exiger l’expulsion des clandestins sous OQTF durant l’hommage rendu après l’attentat de Mulhouse perpétré par Brahim Abdessemed, un Algérien sous OQTF refusé dix fois par l’Algérie et qui a tué au couteau un homme et blessé six autres personnes à Mulhouse le 22 février.

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