
Tours : des antifas attaquent une marche aux flambeaux et affrontent la police
Comme l’année dernière, à Tours, les antifas ont tenté de saboter et d’attaquer la Marche pour Saint-Martin, un hommage au saint patron de la ville organisé par les nationalistes du mouvement Des Tours et des Lys.
Le samedi 9 novembre, cette marche, qui a réuni environ deux-cents personnes, n’aurait pas fait autant de bruit si les antifas n’avaient pas assuré sa publicité, notamment en organisant une contre-manifestation au même moment mais surtout en commettant des violences.
Environ 200 militants antifascistes se sont rassemblés place Foch pour dénoncer la marche identitaire. Au fil de la soirée, les antifas ont tenté de diriger leur cortège dans le vieux Tours et d’aller à la confrontation, c’est pourquoi la police s’est opposée aux antifas, qui ont répliqué par des jets de projectiles. Selon La Nouvelle République, la première charge de la police a fait perdre les banderoles des militants d’extrême gauche. Du gaz lacrymogène a permis ensuite de désintégrer le cortège.
Des antifas, postés à l’étage d’un immeuble près de la cathédrale, ont également tiré au mortier sur les participants à la marche aux flambeaux, qui comprenait des militants mais aussi des familles. Fort heureusement, aucun blessé n'est à déplorer.
Plus encore, selon nos informations, deux antifas isolés qui suivaient le cortège ont été appréhendés par les forces de l’ordre. Au moins l’un des deux militants d’extrême gauche cachait dans sa sacoche ce qui ressemblait à des armes blanches, probablement deux couteaux. Ils sont restés un certain temps avec la police, pour un simple contrôle ou une interpellation, L’Observatoire l’ignore. Dans tous les cas, ils n’ont plus inquiété le cortège ensuite. Les Jeunes communistes locaux démentent cette information, qui est pourtant corroborée par plusieurs témoins. Le média local Ici rapporte qu'un communiste a été interpellé alors qu'il avait jeté des projectiles sur les forces de l'ordre tout en proférant des insultes. Les Jeunes communistes semblent donc dire vrai : les deux individus, dont l'un (au moins) était en possession d'armes contondantes, n'ont pas été interpellés et n'ont probablement subi qu'un simple contrôle.

(1).jpg)
.jpg)
.jpg)
(1).jpeg)