Lucas Meret, un militant LFI rennais qui fait l’apologie du génocide vendéen
Lucas Meret, étudiant en Master 1 Métiers de l'Enseignement, de l'Éducation et de la Formation (MEEF) à la faculté Rennes 2, s’est récemment fait remarquer pour un tweet qui peut être assimilé à une apologie de crimes contre l’humanité. En effet, ce militant à La France insoumise (LFI) et syndiqué à l’Union Pirate a partagé un « meme » dans lequel non seulement il se réjouit du génocide vendéen, mais il déclare également que l’« on recommencera ».
Pourquoi un tel tweet ? Chaque année, le conseil département de Vendée publie une affiche pour souhaiter un joyeux Noël aux Vendéens. Noël oblige, l’affiche représente souvent la Vierge et le nouveau né, Jésus. Chaque année, l’extrême gauche polémique à ce sujet et dénonce une atteinte à la laïcité. Le militant Lucas Meret, pour sa part, a préféré faire référence au génocide vendéen afin de le justifier et pour affirmer qu’un nouveau génocide sera commis afin d’assurer à tous que de telles affiches ne seront plus jamais placardées au niveau d’un arrêt de bus.
Lucas Meret, qui se revendique de la communauté LGBT et qui soutient ouvertement la Palestine, ne semble pas nier le génocide vendéen d’un point de vue historique, mais il semble plutôt se réjouir du massacre de catholiques par la République. Si une controverse historique peut exister sur la question de la pertinence de l’usage d’un terme anachronique pour qualifier les massacres, ceux-ci n’en demeurent pas moins vrais. Au total, les révolutionnaires ont massacré près de 200 000 Vendéens, hommes, femmes et enfants. La boucle est bouclée lorsque M. Meret partage sur son compte TikTok une publication intitulée « Robespierre revient ! » (sic.).
Enfin, Lucas Meret semble être habitué à se réjouir de la mort des autres. Le 18 novembre, sur le réseau social TikTok, il a fait part de sa joie quant à la nouvelle de l’hospitalisation du Président d’honneur du Front National, Jean-Marie Le Pen. Il commentait ainsi « on croise les doigts », ce qui sous-entend qu’il attend sa mort avec impatience.
Lucas Meret, qui est originaire de Erbrée (35), a depuis décidé de protéger son compte 𝕏 en masquant ses tweets. Toutefois, à notre connaissance, aucune action en justice n'a été intentée à son encontre.