En France comme dans tout l’Occident, l’extrême gauche accélère : elle commet de plus en plus de violences, et elles se sont de plus en plus graves. L’attaque d’un militant d’Action française (AF) à son domicile par un commando antifa constitue un nouvel exemple.

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Jeudi 2 octobre, à Saint-Etienne, la victime se trouve dans son appartement. Aux alentours de 08h10, quelqu’un frappe à sa porte. Interloqué, le royaliste questionne l’inconnu et lui demande de décliner son identité.

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« C'est le facteur, pour un recommandé. »

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La victime, circonspecte, entrouvre la porte et découvre quatre personnes vêtues comme si elles s’apprêtaient à se fondre dans un black bloc : elles ne sont pas identifiables. Bien décidés à rentrer dans l’appartement, un des quatre agresseurs assène un coup de pied dans la porte afin de l’ouvrir complètement, tandis qu’un autre se met à crier : 

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« T'es un nazi fils de pute ! »

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Très vite, les antifas se ruent sur le nationaliste et entreprennent de le maîtriser, afin qu’un autre, équipé de gants coqués, puisse enchaîner les coups de poing dans la tête. Alors qu’il tente de se débattre, le militant d’AF est violemment poussé vers la table de son salon, qui se renverse. Il finit par être acculé et essuie une pluie de coups durant de longues secondes, sans pour autant finir au sol, synonyme de lynchage sans possibilité de se défendre. 

Une minute après l’intrusion du commando antifa dans le logement, celui qui s’apparente au meneur de l’expédition punitive décide de mettre fin à l’attaque et ordonne à ses camarades de quitter les lieux.

Les antifas ont infligé à leur victime deux points de suture ainsi qu’une fracture du poignet. La violence des antifas n’est pas chose nouvelle à Saint-Etienne. L’Observatoire publiera un dossier sur cette ville dans les prochaines semaines.

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Désormais, les antifas attaquent leurs ennemis politiques jusque dans leur domicile. Faudra-t-il un drame pour que les autorités daignent les arrêter et que les médias osent s’emparer du sujet ?

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