Dans les semaines à venir, plusieurs militants du mouvement écologiste Extinction Rebellion (XR) seront jugés en région parisienne. Ces procès font suite à des actions militantes illégales qui visaient à promouvoir l’agenda politique du mouvement d’extrême gauche.

Un premier procès a eu lieu le 19 août où sept militants étaient jugés pour une action en faveur de la Palestine ; le 2 septembre, un procès aura lieu pour une action contre le groupe LVMH ; le 12 septembre, pour une action contre BNP Paribas, ; le 17 septembre et le 9 octobre pour des actions liées aux effets dits écocides des Jeux Olympiques de Paris. Selon les militants d’extrême gauche, ces poursuites interviennent après plus de 200 heures cumulées de garde à vue et des perquisitions subies par les militants impliqués.

Malgré ces procédures judiciaires répétées, il n’a jamais été question de dissoudre le mouvement Extinction Rebellion, bien que sa raison d’être est de promouvoir un militantisme illégal et sensationnel, préparé aux poursuites judiciaires grâce à des finances spécifiquement allouées pour cela et à la volonté du mouvement d’obtenir des tribunes par tous les moyens, surtout devant les tribunaux.

Dernièrement, le mouvement Extinction Rebellion s’est distingué en sabotant des stations d’essence TotalEnergies, en défigurant la ville de Crest par des tags, en voyant deux de ses militants être condamnés pour avoir tagué un point SNCF à Carcassonne, ou encore en ayant dégradé la façade des éditions Hachette afin de protester contre Vincent Bolloré.

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Combien de dégradations et de condamnations faudra-t-il pour que le gouvernement daigne envisager la dissolution de ce mouvement séditieux ?

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