.jpg)
Lyon : l’extrême gauche ne cesse d’harceler le Rassemblement National
À Lyon et dans sa périphérie, le Rassemblement National (RN) fait face à une série de pressions provenant de l’extrême gauche. Le RN et sa tête de liste Tiffany Joncour ont officiellement lancé leur campagne dimanche 7 décembre en vue des élections métropolitaines.
Toutefois, l’organisation du meeting n’a pas été de tout repos pour le parti patriote. Le 1er décembre, les Terrasses du Parc, situées à Villeurbanne, ont été prises pour cible par l’extrême gauche. En effet, le lieu qui a accueilli le meeting a été attaqué par des antifas qui ont tagué des messages hostiles au RN et brisé des vitres. Dans son communiqué revendicatif, l’extrême gauche affirme que « Il est clair que les RN, Sterin, Bolloré et compagnie ont quelques soucis à se faire, parce que tous les lieux liés de près ou de loin à l’extrême droite, aux réacs, aux fachos, aux nazillons et autres racelards sexistes, homophobes, classistes et on en passe, seront désormais attaqués. »
Malgré ces dégradations, le meeting s’est tenu le 7 décembre sous haute surveillance policière, avec un dispositif de sécurité renforcé incluant des CRS et des policiers en civil. Environ 200 contre-manifestants, issus de collectifs antifascistes et de partis d’extrême gauche se sont rassemblés à la station de métro Charpennes pour dénoncer l’événement. Zine-Eddine Messaoudi, porte-parole de Jeune Garde, a participé à cette mobilisation aux côtés des candidats LFI Mathieu Garabedian (Villeurbanne) et Albert Lévy (3e arrondissement de Lyon).
La réunion, animée par Tiffany Joncour, Julien Odoul et treize candidats RN, s’est déroulée sans incident majeur, mais Joncour a exprimé son inquiétude : « Une campagne de lancement devrait se faire dans le débat, pas sous protection exceptionnelle ».
Entre-temps, l’extrême gauche lyonnaise s’est distinguée en sabotant la Fête des Lumières avec des messages contre le RN et contre la police.
.jpeg)
.jpeg)
Crédits photo : Le Progrès




